La solidité de la chaîne de sécurité composée de la prévention, de la répression et du suivi dépend de son maillon faible : plus de prévention = moins de répression ; une meilleure répression = moins de récidive. Il convient de poursuivre la création d’une chaîne de sécurité active et intégrale, associant l’ensemble des niveaux. A cet effet, nous fournissons les outils nécessaires à une collaboration plus active entre les différents niveaux de pouvoir : le fédéral, l’Europe, les communautés et les communes.
Il importe dès lors que les bourgmestres reçoivent les informations nécessaires relatives aux personnes résidant dans leurs communes qui ont sollicité un permis (ex : pour un restaurant) ou qui ont déposé une demande (de bâtir par exemple). Le niveau local est essentiel dans la coopération contre la criminalité. Un lien étroit avec nos communes est crucial et il convient de leur fournir les outils nécessaires.
En outre, il nous faut trouver le point faible des criminels. En coopérant à différents niveaux, nous sommes en mesure de mettre au jour leur financement et de s’attaquer à l’utilisation criminelle des « bitcoins ».
Par le biais de ce plan, le CD&V va plus loin que ce qui était conclu. Il n’est pas utile d’entamer à nouveau des discussions qui avaient été achevées. Nous continuons à appliquer notre politique de manière active et intégrale. Lire l’intégralité de l’approche en chaîne du CD&V ici.